Le Télégramme – 28/11/2018

Le spectacle « Baisse les Yeux » sera présenté à tous les élèves de CM1-CM2 et 6ème.

En collaboration avec le Pays de Pontivy, le Quatro permet au Théâtre du Grain d’intervenir dans les deux collèges baldiviens, ce jeudi 29 novembre, lors d’ateliers de théâtre, musique, et sensibilisation au harcèlement.
Ce vendredi 30 novembre à la salle du Scaouët, deux représentations auront lieu pour tous les élèves des classes du CM1, CM2 et 6e.
Le Théâtre du Grain est une compagnie qui rassemble acteurs, metteurs en scène, danseurs, musiciens, techniciens du spectacle, pour travailler ensemble sur des projets participatifs faisant appel à la population. Ainsi, ils proposent à chacun de contribuer à des expériences de parole et d’écriture collective se finalisant par des gestes artistiques scéniques.

En collaboration avec le Pays de Pontivy, le Quatro permet au Théâtre du Grain d’intervenir dans les deux collèges baldiviens, ce jeudi 29 novembre, lors d’ateliers de théâtre, musique, et sensibilisation au harcèlement.
Ce vendredi 30 novembre à la salle du Scaouët, deux représentations auront lieu pour tous les élèves des classes du CM1, CM2 et 6e.
Le Théâtre du Grain est une compagnie qui rassemble acteurs, metteurs en scène, danseurs, musiciens, techniciens du spectacle, pour travailler ensemble sur des projets participatifs faisant appel à la population. Ainsi, ils proposent à chacun de contribuer à des expériences de parole et d’écriture collective se finalisant par des gestes artistiques scéniques.

Humour, poésie ou brutalité
Le spectacle « Baisse les Yeux » est une création théâtrale, musicale et chorégraphique à laquelle ont participé plusieurs collèges du Finistère. À partir de témoignages d’adolescents sur le harcèlement, Alain Maillard met en scène la parole des victimes, témoins et protecteurs, mais aussi des oppresseurs. Le jeu des comédiens, leur chorégraphie et la musique jouée en direct amènent avec humour, poésie ou brutalité une prise de conscience aiguë du vécu intime des adolescents. Poser la question du harcèlement, c’est poser la question de la violence, de la fragilité et des pulsions qui nous habitent. C’est aussi poser la question de l’identité, qui est au cœur de l’adolescence.